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Fond. Gottfried
Matthaes
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Objets Anciens :
Copies et Faux
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Peintures sur bois et toile. | Meubles anciens et statues. |
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Objets d’art en ivoire, bronze et autres métaux. | |||
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Céramiques archéologiques. | Verres anciens et modernes. |
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Art africain. | |||
Tapis et tapisseries. | Art bouddhiste et chinois. | Le laboratoire du musée et les méthodes scientifiques. |
Museo d'Arte e Scienza |
Milan - Italie |
Unique au monde, consacré au contrôle de l'authenticité d’objets d’art anciens |
Plus de
2 000 objets didactiques sont exposés dans les 18 salles du Musée. |
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Atelier test de la salle 8: |
Atelier test de
la salle 9: |
Atelier test de
la salle 7: |
Atelier test de la salle 9: Contrôle avec la loupe de l’usure et des décorations de la porcelaine |
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L’examen optique de l’usure permet de reconnaître un objet en argent authentique. |
L’ombre révèle la fabrication industrielle ou artisanale du verre. |
Le microscope reconnaît la patine et les incrustations authentiques des fausses. |
Si la porcelaine émet un bruit sourd, cela indique qu’elle présente une restauration cachée. |
Via
Q. Sella, 4 -20121 Milano - Piazza Castello |
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La valeur de l’expertise dans le domaine de l’art à l’ère scientifique |
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€ 4.500 |
€ 5.000.000 |
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Pour
toutes informations détaillées, consulter notre site |
ENFIN OUVERTE!
Succursale du laboratoire scientifique
milanais pour la reconnaissance
de l’authenticité d’objets d’art anciens de
valeur
|
Veuillez contacter Dr. Martin
Matthaes La maison, appartenant depuis 45 ans à la Famille Matthaes, est sise sur les rives du lac de Constance, près de Lindau. |
D'autres services peuvent être demandés, comme toujours, directement au laboratoire du Musée de Milan, à l'adresse suivante: Museo d’Arte e Scienza |
Pour plus d’informations : |
www.Museoartescienza.com
www.spectroscopyforart.com |
Les fondateurs et l'équipe
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Gottfried
Matthaes |
Giovanna
Cozzi Matthaes |
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Dott. Chim.
Peter
Matthaes |
Patrizia
Matthaes Administration |
Silvia Mayer Langues et Communication |
Dott. Avv.
Martin Matthaes Avocat - Droit International |
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Chiara
Civardi Première assistante de laboratoire |
Roberta
Delmoro Histoire de l'art (Freelance) |
Marta
Cugnasca Informatique |
Sonia
Checchini Conservation |
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Etablissement de l'authenticité des tableaux anciens
Les Copies
Tous les peintres dignes de ce nom ont commencé leur
carrière en copiant
les grands maîtres du passé.
Dès l’Antiquité,
les copies faites honnêtement servaient aux études des jeunes artistes :
sans ces copies, notre connaissance des cultures du passé serait
incomplète. S'ajoute à cela le problème de la surévaluation de la signature de l’auteur en tant que preuve d’authenticité. Dans la réalité commerciale, en particulier au cours des dernières décennies, ce fait a même poussé à considérer que la signature était plus importante que la qualité de l’œuvre. La seule présence de la signature ne peut pas être considérée comme une preuve suffisant à garantir l'originalité de l’œuvre.
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Les objets dits « non authentiques » sont
des faux
proprement dits, réalisés en vue de tromper et d'obtenir un gain
indu; entrent également dans cette catégorie des œuvres nées en tant que copies faites
honnêtement mais qui, à la suite de différents transferts de
propriété, sont vendues en tant qu’œuvres authentiques. Ces
dernières sont les plus nombreuses. |
Il est facile d’expliquer pourquoi les objets non
authentiques sont si nombreux sur le marché des objets anciens.
Le nombre des œuvres authentiques des siècles passés n’augmente pas.
Au contraire, ces pièces deviennent de plus en plus rares. En
revanche, le nombre des acquéreurs possibles augmente, tant en
raison de l’enrichissement de la population mondiale aisée, que
grâce à l'augmentation de la surface habitable par habitant. Le
désir d’embellir sa demeure avec des objets d’art est fort
compréhensible et la copie devient donc un
besoin social. |
Il faudrait réévaluer les bonnes copies plutôt que de développer la production de faux. Malheureusement, les copies anciennes sont, elles aussi, destinées à s’épuiser, de sorte qu'il est devenu nécessaire de trouver une autre source valable pour répondre à la demande. Une solution pourrait consister à recourir aux peintres de talent actuels, à condition qu'ils acceptent de suivre les préceptes de l’artiste et du savant le plus grand et le plus génial de tous les temps : Léonard de Vinci. Ces préceptes sont univoques et clairs : « …Le peintre doit observer la nature et ses phénomènes selon des méthodes et des considérations scientifiques; il doit copier la nature fidèlement, car elle est d'une beauté inégalable, inépuisable et délicieuse. » Cet enseignement a toujours été suivi par tous les artistes, depuis le début de la culture humaine jusqu'au XIXe siècle. Pourtant, il n’avait jamais été formulé aussi clairement que dans le « Traité de la Peinture » de Léonard de Vinci. Léonard de Vinci avait déjà prévu cette tendance de la peinture moderne qu'il approuve pourtant, mais à cette condition (Art. 63 et 35 du Traité) :
« … Rappelle-toi
qu'il ne te coûte rien de t'arrêter de temps à autre à regarder les
taches sur les murs, la cendre du feu, les nuages,
la boue, ... qui éveillent l'imagination du peintre à de nouvelles
inventions… Mais apprends tout d'abord à bien faire toutes les
parties des
choses que tu veux représenter… » (voir le dessin de Picasso) - «…
telle ou telle invention est déshonorée par ceux qui ne savent pas
représenter, ni dialoguer avec leur travail et avec cette paresse,
ils détruisent leur travail…» |
dessin exécuté par Picasso |
peinture exécuté par |
Lorsque l'on achète des objets d’art, on court un risque fondamentalement supérieur à celui auquel on s’expose quand on acquiert d’autres types d’articles. Lors de l’achat d’un appareil électroménager, il est possible de calculer approximativement son prix de vente, comprenant la valeur du matériau, la main-d'œuvre, l'emballage, le transport, etc. En revanche, dans l’univers de l’art et des antiquités, il n’existe aucun lien logique entre le prix d'un objet et sa valeur intrinsèque. Lorsque l'on acquiert une gravure ancienne par exemple, toute tentative d’en calculer le prix est vaine. Le coût d'une affiche ancienne n'est pourtant constitué que d'un morceau de papier et d'une opération d’impression à partir d'une matrice. Il ne s’agit là que d'un exemple de l’énorme différence entre la faiblesse du coût de production et la valeur impondérable du prix de vente. |
En réalité, les amis de l’art ancien ne
peuvent pas réellement croire que la connaissance des facteurs
objectifs offre une garantie en matière de reconnaissance d'un bon
objet d'art. Pour pouvoir choisir l’objet idéal, au-delà des règles à
suivre pour identifier et exclure les objets n’ayant qu'une piètre
valeur, il faut de la passion, du flair, de la sensibilité et une
fréquentation longue et intense du monde des antiquaires. |
ETABLISSEMENT DE L’AUTHENTICITE DES MEUBLES
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La recherche de l’authenticité se base : 1 - Sur le
style : ce thème est largement décrit dans de nombreux ouvrages
spécifiques.
Le thème de l’authenticité
des meubles est traité dans la section dédiée aux méthodes scientifiques
de ce site; vous trouverez également des explications détaillées, des photographies et
des exemples nombreux sur les sites
www.MobiliAntichiAutenticita.com et
www.MuseoArteScienza.com, ainsi que dans le Tome 1 du Manuel
de notre Musée (p. 139-208). |
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NOUVEAU ! |
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Objet en ivoire, Afrique |
Temple du Buddha, Chine |
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Dans la catégorie "ivoire" entrent non seulement les défenses d'éléphants, mais également les cornes d’autres animaux et certains types d’os. Tous les ivoires se distinguent par leur dureté et leur résistance, caractéristiques dues à leur composition chimique. L’élément prédominant est représenté par des matières inorganiques, dont l’âge n’est pas déterminable. Mais nous trouvons aussi des substances organiques qui subissent des altérations avec le temps, selon des lois biologiques. |
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L’analyse par spectroscopie à infrarouges met en évidence les
molécules présentes dans la matière, permettant ainsi de distinguer de
manière claire les substances inorganiques de l'ivoire de celles organiques.
Il est donc possible d'appliquer à ces dernières les méthodes
analytiques pour la datation, en visant des molécules sélectionnées
et mesurables. |
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Figure 1 |
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Figure 2 |
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L’application de l’analyse spectroscopique pour la datation de
matériaux organiques est brevetée.
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Instructions pour le prélèvement d'un échantillon d’ivoire à dater
A)
L’objet en ivoire est envoyé au laboratoire du
Musée à Milan. L’échantillon prélevé ne laisse qu'un trace minimale
et invisible. |
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Ce petit fragment doit être recueilli dans un morceau de papier puis envoyé par la poste au laboratoire du musée. Prix pour une mesure : 95€, 125 USD. |
ETABLISSEMENT DE L’AUTHENTICITE
DES OBJETS EN IVOIRE, EN PIERRE ET EN BRONZE.
Quelles que soient les cultures, les premiers objets d’art créés par
les hommes ont été sculptés ou gravés dans les matières
que la nature offrait : pierres, corne, dents ou os d’animaux.
Les métaux devaient d’abord être purifiés puis
fondus. La détermination de
l’authenticité de ces pièces anciennes ne pose pas de problèmes. Elles ont été
retrouvées sous terre et présentent donc des marques de corrosion très
prononcées. Des examens physiques, optiques et chimiques ne garantissent pas
l’acquisition d’éléments suffisants pour effectuer une datation précise, les objets
ayant été réalisés avec un seul type de matériau qui n'est très souvent
pas datable. Le thème des objets provenant des fouilles est amplement traité dans le Tome 3 de notre Manuel Illustré. www.artandsciencehandbook.com
Pour
tout renseignement complémentaire, consulter le site
www.MuseoArteScienza.com |
ETABLISSEMENT DE L’AUTHENTICITE DU VERRE
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- Le verre est, à la base, transparent et
lumineux.
On trouvera des
informations complètes sur le site
www.MuseoArteScienza.com et dans le Tome 1 du manuel illustré
de notre Musée (p. 209-232). |
ETABLISSEMENT DE L’AUTHENTICITE
DES CERAMIQUES ISSUES DE FOUILLES
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Tous les pays qui possédaient des carrières d’argile avaient
leur propre production. La plupart d’entre eux se contentaient de fabriquer les
modèles les plus communs que l'on utilisait chaque jour. Personne n'est en mesure de dire
quand les copies commencèrent. Il est pourtant logique de penser que, à toutes
les époques, lorsqu'une œuvre d’art ou un objet plaisait, on essayait d’en
copier les formes et les décorations en raison de leur beauté.
Les céramistes grecs et, surtout, romains disposaient déjà de
très beaux modèles proposés par les cultures d’Egypte et du
Moyen-Orient.
Des descriptions détaillées des différentes techniques et des
méthodes scientifiques sont partiellement présentées sur le site
www.ExcavatedArtAuthenticity.com ainsi qu'au Tome 3 du manuel de notre Musée. |
ETABLISSEMENT DE L’AUTHENTICITE DANS L’ART AFRICAIN
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Pour tout renseignement
complémentaire, visiter les sites
www.MuseoArteScienza.com et
www.ArteAfricanaAutenticita.com ou consulter le Tome 3 du Manuel de
notre Musée (p. 99-121). |
ETABLISSEMENT DE L’AUTHENTICITE DANS L’ART BOUDDHISTE
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Un jugement sur l’authenticité, basé sur des
facteurs esthétiques, est encore compliqué par le fait que, lorsqu'elles étaient
abîmées, les statues vénérées dans les temples et les monastères bouddhistes
étaient remplacées par des copies qui devaient ressembler le plus possible aux
pièces originales.
On trouvera des informations plus détaillées
sur le site
www.MuseoArteScienza.com et dans le Tome 3 du manuel illustré de
notre Musée (p. 81-97). |
La vérification de l’authenticité des tapis et des tapisseries
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En Orient, les tapis anciens constituaient souvent l’unique ameublement : le centre du
tapis représentait alors le centre de la vie et donc, la zone la plus exposée à
l’usure.
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(1) | |
Plus d'informations détaillées
sur le site
www.ArtandScienceHandbook.com |
Un laboratoire scientifique au service de l’art
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Le but du laboratoire du Musée est de perfectionner les méthodes scientifiques déjà existantes en matière de contrôle d’authenticité des objets d’art et d’en élaborer de nouvelles. Les instruments et le savoir-faire du laboratoire sont à disposition des collectionneurs, experts, restaurateurs, galeries et musées. (Le personnel du laboratoire, qui parle les principales langues européennes, est disponible pour toutes explications)
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Les analyses effectuées par le laboratoire :
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Datation et
caractérisation |
Contrôles microscopiques de peintures, pièces en bronze anciennes, objets en céramique archéologiques, etc. |
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Analyse des couches profondes avec la Réflectographie à Infrarouge |
Analyse de la dureté et du séchage de la couche de peinture |
Analyses avec la lumière de Wood, les UV et les IR |
AUTRES ANALYSES EFFECTUEES PAR LE LABORATOIRE :
Analyses chimico-spectroscopiques des pigments,
colles, incrustations, patines, produits de corrosion.
Essais scientifiques, pratiques et instrumentaux pour le
contrôle de : ivoire, ambre, objets en verre
archéologiques, pigments, métaux, pierres, art bouddhiste et africain, tapis,
tapisseries, estampes, livres, horloges, pièces en porcelaine.
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PRIX : Le prix moyen des analyses est de 75€ par examen. Certaines examens sont définitifs pour distinguer le faux du vrai, comme la datation du bois ou les essais sur les incrustations des pièces en céramique ou en bronze |
Au cours des 100 dernières années, la science a fait d’incroyables progrès. Le nombre de scientifiques et de chercheurs opérant à travers le monde surpasse celui de tous les hommes qui se sont intéressés à la science depuis le début de l’humanité jusqu'à nos jours. La possibilité de faire de nouvelles découvertes et de perfectionner les méthodes existantes est multipliée par les nouveaux instruments de mesure dont nous disposons; l’emploi de l'ordinateur garantit en outre l'élaboration rapide des données. Le marché de l’art acquiert une importance économique toujours plus forte; il est donc naturel que les connaissances acquises en la matière soient aussi bien reprises par les faussaires que par ceux qui luttent contre ces derniers.
Si
l'on prenait l’habitude de soumettre à des examens scientifiques tous
les objets d’une certaine valeur, comme on effectue un check-up pour
contrôler son propre état de santé, les faux artistiques seraient
éliminés de nombreux secteurs du marché des antiquités. |
Voici les procédés et
les méthodes scientifiques |
Méthodes
optiques
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La loupe
Le faussaire peut parvenir à tromper l’œil de
l’homme, mais il ne peut pas travailler d'une manière suffisamment parfaite et
précise pour tromper une loupe utilisée par un observateur avisé.
Le microscope
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La spectrographie IR est utilisée depuis des dizaines d’années dans l'industrie, pour les analyses chimiques. Toutefois, dans le domaine de la datation du bois, cette application est nouvelle (Brevet G. Matthaes) : elle permet d'évaluer l’âge des meubles, des peintures sur bois, des châssis, des cadres, des statues, des poutres et d’objets semblables du monde de l’art. La mesure spectrographique de l’âge du bois ne subit ni l’influence du lieu d’origine de l’arbre, ni les facteurs climatiques auxquels l’objet a été soumis au fil des siècles.
La précision de la méthode varie de 10
à 20 ans, selon le type de bois et son âge.
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La Spectroscopie infrarouge n’est ni une méthode nouvelle, ni une nouvelle découverte. Ce qui est nouveau, c'est son application dans le domaine de la vérification de l’âge et de l’authenticité des objets d’art. Elle est utilisée depuis des dizaines d’années, dans le monde entier, par toutes les entreprises chimiques et pharmaceutiques, grâce à des milliers d’instruments : le laboratoire du Museo d’Arte e Scienza à Milan se sert du même programme et du même équipement. Grâce à sa haute fiabilité, sa précision et sa facilité d’emploi, cette méthode est devenue numéro 1 dans tous les secteurs où son application est possible. La datation spectroscopique se fonde sur deux principes très connus : · Tous les matériaux présents sur la Terre, y compris ceux qui sont utilisés pour la création d’objets d’art, sont composés par molécules spécifiques. · Certaines molécules particulières changent avec le temps.
Le spectre IR du bois montre
ses molécules ou ses groupes de molécules avec des pics et des creux
(figures 1 et 2). Les signes de vieillissement provoqué par
l’évaporation, l’oxydation et d’autres facteurs d’altération créent
une baisse des pics d’absorption et, de manière mineure, leur
déplacement (figure 3).
1 – Evaluation graphique
de la courbe (Spectrographie) |
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Figure 2 |
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Figure1 |
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2 – L’évaluation du
déplacement des fréquences
(Spectroscopie) |
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La cellule végétale,
contrairement à la cellule animale, est bien protégée par une
paroi de cellulose. La cellulose est extrêmement résistante à
l’eau, c’est pourquoi nous trouvons encore des cellules de bois et
du matériau datable dans des parties archéologiques de navires
romains. |
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Figure 4 (Recherche en collaboration avec un musée archéologique allemand, 1995.) |
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La Méthode du Radiocarbone (14C)
Lors de son invention, la méthode 14C fut présentée comme le moyen miraculeux pour dater de façon absolue et sûre des objets anciens et, donc, pour lutter contre les faussaires.
Elle permet de mesurer la datation des matériaux organiques qui contiennent du carbone comme le bois, les tissus, les cheveux, l’ivoire, le charbon, le corail, le cuir, les coquillages, le fer forgé, le papier, etc.
La méthode se base sur les théories scientifiques suivantes. Dans l'atmosphère terrestre, le carbone se présente avec trois isotopes : 12C, 13,C et 14C. Seul le troisième est radioactif et, par voie de conséquence, instable et mesurable. Le 14C se forme continuellement dans l'atmosphère supérieure sous l’effet des radiations cosmiques et est déposé sur la terre lors des pluies. A travers l’eau, toute forme de vie, végétale ou animale, reçoit au cours de son existence l’isotope 14C, de par son absorption par le corps vivant; c'est également le cas pour la fibre du bois. A la mort de l'organisme, cette absorption est interrompue et le 14 C se transforme lentement en 12C. La vitesse de décroissance est connue et indiquée dans des tableaux détaillés, rectifiés et confirmés à plusieurs reprises.
Le diagramme 1 reproduit la courbe de ce temps de décroissance. La création et la concentration du 14C dans l'atmosphère ont connu de fortes oscillations au fil des siècles. Des périodes sont incertaines, à mettre sans doute en rapport avec l’activité du soleil et les oscillations du champ magnétique. Le développement du 14C dans l'atmosphère terrestre a subi des variations si amples que les résultats des mesures au cours de ces périodes ne peuvent être interprétés. Malheureusement, les périodes incertaines couvrent deux des ères les plus importantes pour l’art: les siècles de la civilisation grecque et les 350 dernières années de notre histoire
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La méthode ne peut donc pas être appliquée pour les objets créés après 1650 environ, ce qui concerne malheureusement la plupart des objets présents sur le marché.
En conclusion, il est donc possible d’affirmer que la méthode 14C est surtout fiable pour les examens archéologiques ou pour les objets très anciens et que, dans ce secteur, elle garantit une datation relativement précise et sûre.
Pour les exécuter, il est utile de s'adresser aux laboratoires des facultés de Sciences des grandes universités.
Les examens sont toutefois relativement coûteux. Les principaux domaines où la méthode peut être appliquée dans le monde des antiquités sont ceux des objets en bois ou réalisés avec d’autres substances organiques, comme la colle, les os et l’ivoire.
Période |
Précision des méthodes |
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âge (en années) |
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spectrographie |
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14C |
0-50 50-350/400 350/400-750/850 750/850-2000 après 2000 |
assez bonne bonne bonne à perfectionner* inapplicable jusqu'à présent |
bonne inapplicable bonne bonne relativement haute |
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* La précision relative diminue proportionnellement à l’âge |
La Dendrochronologie
Méthode des anneaux de croissance
Le calcul des anneaux de croissance est l'une des méthodes les plus exactes pour dater de façon absolue une pièce de bois, à condition de connaître de façon précise le lieu d’où provient l’arbre.
Dès l’école primaire, on apprend que, en comptant les anneaux d’un tronc d’arbre coupé, on peut en calculer l’âge. Composé d'une zone claire et d'une zone sombre, chaque anneau indique une anné.
Si l'on trouve un morceau de bois ancien, par exemple dans un meuble, ayant un nombre suffisant d’anneaux, il doit être possible d’établir, à un an près, son âge avec l’aide de ces tableaux.
Théoriquement, la dendrochronologie est la
méthode la plus exacte pour dater les objets en bois. Dans la pratique, les
anneaux de croissance présentent pourtant de nombreuses limites. Etant donné que les distances subissent exclusivement l’effet du
climat où l’arbre grandit et que le climat ne varie pas seulement de l’Espagne à
l’Angleterre, mais aussi du nord, au centre et au sud de l’Angleterre ou même
d'une colline à la vallée, il est nécessaire d'élaborer des tableaux spécifiques
pour chacune de ces zones. En premier lieu, il faut donc savoir où l’arbre a
grandi.
Une forte limite repose en outre sur le fait que seuls certains types d’arbres, comme par exemple le chêne, développent lesdits anneaux et que, pour les compter, il faut avoir une pièce de bois assez grande. La dendrochronologie est une science exacte pour étudier le climat d’une certaine région et la datation des pièces de bois qui en proviennent. Généralement, on estime que cette méthode ne permet pas de dater de façon sûre un objet ancien en bois.
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La méthode de la thermoluminescence
pour le contrôle de l’authenticité des objets de fouilles
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Cette caractéristique très positive a pourtant été mise en discussion dès la découverte de la méthode. La raison en est la suivante :
Certains cristaux du sous-sol sont radioactifs; les radiations qu'ils émettent sont absorbées par des cristaux particuliers, surtout par les cristaux du quartz, contenus dans la terre cuite des objets enterrés. La quantité de radiations absorbées dépend essentiellement du temps pendant lequel les objets restent dans le sol; elle peut être mesurée.
Les faussaires pourraient donc irradier artificiellement des objets en céramique neufs et tromper ainsi les instruments de mesure.
La production de faux selon des méthodes scientifiques demande une excellente préparation en la matière, ainsi que des instruments très coûteux. Jusqu'à maintenant, ces derniers points ont permis de détecter relativement facilement les irradiations artificielles. Ce n'est pourtant qu'une question de temps avant que la méthode d’irradiation ne soit suffisamment mûre pour être produite à grande échelle. Lorsqu'il en sera ainsi, les mesures effectuées par thermoluminescence devront s’accompagner d’examens complémentaires afin d'obtenir des résultats dignes de foi.
L’examen des
incrustations dont la surface de la céramique est généralement couverte, nous en
offre le certitude.
Effectuée à l’œil nu, cette technique est aussi vieille que l’archéologie.
Aujourd'hui, il est possible d'exécuter facilement cet examen à l'aide de la
spectrographie, à même de distinguer avec la plus grande sûreté les
incrustations produites artificiellement avec du ciment, de la terre et
de la colle, des sels minéraux authentiques qui se sont formés pendant les
siècles où les objets sont restés sous terre.
La lumière infrarouge se distingue par la longueur de ses ondes, qui pénètrent profondément dans la matière. Ce phénomène a lieu, par exemple, au coucher du soleil, lorsque les ondes lumineuses rouges, très longues, parviennent à traverser l’épaisse couche de l'atmosphère chargée de poussière et de fumée, tandis que la lumière d’autres couleurs à ondes plus courtes est absorbée.
Dans un tableau, les rayons infrarouges peuvent pénétrer dans la couche de couleur; si cette dernière est mince, elle peut atteindre la base même de la préparation blanche.
L’application de cette technique est très importante pour distinguer une copie d'un original.
D'une manière quasi générale, un bon peintre exécute
d’abord, avec un crayon de carbone ou de plomb, une esquisse de l’image sur la
toile qu'il a préparée.
Si, par exemple, un faussaire a tracé un quadrillage pour
reporter les bonnes proportions du tableau, les lignes noires, captées par le
capteur de la caméra, apparaissent nettement sur l’écran.
Chaque peintre élabore son propre style. Un bon expert est en mesure de reconnaître la main d’un artiste, tout simplement en observant un croquis ou un dessin.
Comme nous l’avons déjà dit, la Réflexographie permet de voir l’esquisse qui a servi de base pour l'exécution de la peinture.
La reconnaissance de la manière de tracer l’esquisse d’un artiste peut confirmer ou démentir l’attribution d’une œuvre.
Avec cette technique, il est parfois possible de distinguer certains types de pigments utilisés, ce qui permet de faciliter la datation d’une peinture.
La pénétration des rayons permet également
d’étudier les craquelures dans la profondeur de la peinture elle-même.
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La Lumière Ultraviolette (UV)
et Infrarouge (IR)
L’œil de l’homme ne voit qu'une partie de la vaste palette des couleurs. Du point de vue de la physique, ces dernières sont des ondes électromagnétiques oscillant à une fréquence donnée.
Les couleurs captées par l’œil et interprétées par le cerveau de l’homme sont limitées; elles se trouvent au centre du champ plus vaste des fréquences électromagnétiques.
Dans la partie invisible du spectre comprenant les fréquences longues, on trouve l’infrarouge (IR) et dans la partie des ondes courtes, la lumière ultraviolette.
Les couleurs invisibles sont donc des éléments précieux pour la recherche de l’authenticité, dans la mesure où les faussaires ne sont pas conscients du fait que le matériel qu'ils utilisent peut les trahir, grâce à l'utilisation d'une lumière qu'ils ne perçoivent pas.
Un appareil photo muni de pellicules spéciales permet de capter tous les effets spécifiques produits par des lampes IR et UV au-delà de notre champ visuel, de façon à pouvoir les observer ensuite sur des photos imprimées.
L’examen d’une peinture devrait être effectué avec trois types de lumière : IR, UV et Wood. Ces trois examens sont très faciles à effectuer.
La lumière ultraviolette permet d’identifier les couleurs
industrielles
à liants synthétiques d'une restauration récente.
Rayons à lumière visible monochromatique
La lumière du soleil nous semble blanche parce que notre œil est habitué à percevoir la somme de toutes les fréquences des couleurs que le soleil émet sous la forme d'une couleur blanche. En revanche, si l'on éclaire un objet, quel qu'il soit, avec des rayons d’une seule couleur, sa beauté disparaît et l'on met en relief des détails qui échappaient à l’observateur fasciné par le spectacle des couleurs. La lumière monochromatique la plus utilisée est celle de la vapeur de sodium qui est un jaune pur
La lumière de Wood
Les rayons de la lumière de Wood diffèrent fondamentalement des autres dans la mesure où ils excitent certains types de molécules en créant une fluorescence. Cela signifie que le matériau ne réfléchit pas seulement la lumière, mais qu'il émet sa propre lumière. Le test effectué avec la lumière de Wood n’altère pas seulement les couleurs, il pousse également la matière elle-même à devenir lumineuse.
La fluorescence est un moyen de recherche très important. Elle permet, par exemple, de distinguer les vraies perles des fausses, de l’ambre vrai de celui qui est fait avec des résines synthétiques, les restaurations de meubles, les faux pierres ou émaux et quantité d’autres applications.
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Couche de protection de peintures observée à la lumière de Wood |
L’examen
à travers la matière
avec les rayons Röntgen
Les rayons sont utilisés dans de nombreux domaines pour voir à l'intérieur ou à travers la matière.
Tout appareil Röntgen utilisé en radiologie médicale, qu'il soit moderne ou plus ancien, peut servir pour ce genre de recherche.
Il est possible de découvrir les modifications effectuées par le peintre ou par un restaurateur.
Dans certains cas, l’examen permet d’identifier une peinture antérieure à celle que l'on voit à l’œil nu.
La radiographie d’un tableau, si l'on n’a
pas la possibilité d'effectuer une comparaison à grande échelle, est peu
indicative pour découvrir la
main d’un peintre.
La Pigmentographie
Les pigments peuvent se distinguer au microscope grâce à leur couleur, à leur forme cristalline, à leur opacité et à leur pureté. La méthode spectrographique permet de définir les différentes molécules qui composent les pigments. Les pointes de la courbe signalent la présence des éléments cuivre et oxygène dans le pigment bleu azurite, et du plomb contenu dans le pigment blanc d’argent
Les autres méthodes permettant de certifier le type de pigment sont : l’analyse de la fluorescence des rayons Röntgen (X-Ray Fluorescence), le microscope à balayage électronique et la spectrométrie d’absorption atomique. L’application de ces méthodes est valable pour la quasi-totalité des matériaux présents dans les objets anciens. Toutes des méthodes permettent de mener des recherches spécifiques et approfondies.
Prenant acte des nombreuses difficultés intrinsèques, et dans le but d'aider les amateurs d’objets anciens, la Fondation G. Matthaes a travaillé pendant plus de vingt ans à la rédaction d'un ouvrage de référence, permettant d’exploiter les expériences recueillies au fil du temps dans plus de cinquante livres précédemment écrits en plusieurs langues par des restaurateurs et des antiquaires, complétées de continuelles mises à jour et de nouvelles études menées par le laboratoire scientifique. Le résultat de cette recherche est le "Manuale Illustrato del Collezionista d'Arte" (540 pages et plus de 2 000 illustrations en couleurs en 3 tomes et 3 langues) qui offre des informations éloquentes et claires au lecteur, de façon à lui permettre de reconnaître un objet authentique grâce à quelques mots et à quantité d’images. |
Horaires: Du lundi au vendredi 10 h - 18 h
Entrée: - Plein tarif
: 8 € Visites guidées: (10 pers. minimum) 10 € |
Info: Tél. +39 02 72022488 Télécopie : +390272023156. e-mail: info@museoartescienza.com
via Q. Sella,4 -20121 Milano |
Le site du musée. 6 salles dédiées à la reconnaissance de l’Authenticité dans l’art, 5 salles dédiées à Léonard de Vinci (les activités de Léonard de Vinci à Milan et son Traité illustré de la Peinture) – 5 salles dédiées à l’Art Africain et à l'Art Bouddhiste, 2 Laboratoires scientifiques pour l’établissement de l’authenticité.
AUTRES sitES dU
MusEO d'ArtE e ScienZA: |
www.MuseoArteScienza.com - Le site du musée. 6 salles dédiées à la reconnaissance de l’Authenticité dans l’art, 5 salles dédiées à Léonard de Vinci (les activités de Léonard de Vinci à Milan et son Traité illustré de la Peinture) – 5 salles dédiées à l’Art Africain et à l'Art Bouddhiste, 2 Laboratoires scientifiques pour l’établissement de l’authenticité. www.LeonardoDaVinciMilano.com - "Léonard Citoyen de Milan" et "Apprécier l'Art à travers les yeux de Léonard de Vinci" d'après son Traité de la Peinture. www.AuthenticAfricanBronzesandCeramics.com - traite de l’authenticité des objets d’art africain en bronze, en pierre et en céramique. Le laboratoire scientifique du Museo d’Arte e Scienza a développé des méthodes valables pour distinguer les objets africains. www.ArtAndScienceHandbook.com - Le guide scientifique le plus complet pour la reconnaissance de l'authenticité d'objets d'art européens et autres, basée sur des facteurs objectifs. 540 pages et plus de 2 000 illustrations en couleurs en 3 tomes et 3 langues. www.SpectroscopyForArt.com - Méthode scientifique pour la datation du bois et l'identification du type de bois des objets d'art. Reconnaissance de l'authenticité par l'analyse des couleurs, des liants, des pigments et d'autres substances organiques. www.AntiqueFurnitureAuthenticity.com - Liste de toutes les possibilités basées sur des facteurs objectifs qui permettent de reconnaître l'Authenticité des Meubles. www.Paintingauthenticity.com - Information sur la vérification de l'authenticité des peintures modernes et des peintures anciennes. www.Excavatedartauthenticity.com - "Une liste de toutes les possibilités qui permettent de reconnaître l’authenticité d’objets archéologiques en céramique, en verre et en bronze provenant du sud de l’Italie, du bassin méditerranéen, de la Chine et de l’Amérique du sud, en se basant sur des facteurs objectifs". www.AfricanartAuthenticity.com - "Vie et Art en Afrique Noire", la section didactique du Musée consacrée à l'Art Africain (5 salles présentant plus de 350 objets). www.Matthaes.org - L’histoire de la Fondation G. Matthaes: de l’ouverture de l’école de peinture à Dresde en 1906 jusqu’au Musée d’Art et Science de Milan. www.IvoryAuthenticityAnd Age.com - Ivoire, corne et os peuvent être identifiés clairement et datés par spectroscopie. www.LeonardoTeacherofPaintinginMilan.com - Edition réduite et illustrée du « Traité de la Peinture ».
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